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L’intelligence artificielle peut-elle prédire l’avenir ? Musk aimerait bien savoir si sa querelle avec Trump va laisser des séquelles. Premier test : reste-t-il bankable auprès des investisseurs ?

L’alliance de circonstance entre Donald Trump et Elon Musk n’aura duré que quelques mois. Elle se brise sur fond de désaccords budgétaires et de visions divergentes de l’avenir américain. D’un côté, une Amérique populaire, conservatrice et attachée à une forme de souveraineté ; de l’autre, les techno-libertariens qui misent sur l’innovation et l’autonomie du marché. Au-delà de la rupture personnelle, c’est tout un équilibre idéologique qui vacille : qui, de l’État ou des géants de la tech, mène encore le jeu ?

Le clash entre Peter Navarro et Elon Musk met en lumière les tensions internes du camp Trump. À l’heure où les droits de douane refont surface dans le débat politique, l’opposition entre le stratège protectionniste et le magnat de la tech révèle une fracture idéologique majeure entre nationalisme économique et libre-échange. Une querelle d’ego, certes, mais surtout un test pour l’équilibre déjà fragile de la coalition MAGA.

Annoncé en janvier comme un acte fort contre le réseau X, le boycott de 46 députés semble déjà s’essouffler. Entre retours discrets, comptes toujours actifs et recomposition des audiences politiques, le mouvement #JeQuitteX révèle surtout une polarisation croissante de la sphère numérique.

Cette technique permettra d’augmenter la cadence des vols spatiaux. Une urgence qui doit permettre d’être au rendez-vous pour la prochaine fenêtre de tir vers Mars. Celle-ci se produit tous les deux ans et la prochaine s’ouvrira fin 2026.

Alors que de plus en plus d’utilisateurs quittent le réseau social X pour rejoindre Bluesky ou Mastodon, la plateforme HelloQuitteX permet de conserver et de transférer une partie de ses abonnés. Cette opération soulève beaucoup de questions notamment sur le traitement des données personnelles récoltées.

Avec l’investiture de Donald Trump, de nombreux internautes appellent à boycotter X (anciennement Twitter), qu'ils considèrent comme un vecteur de haine et de désinformation.

Un mouvement de désertion massive du réseau social X est apparu avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump et suite aux prises de position d’Elon Musk.

Tondelier, Léaument, Bompard... Pas encore partis, ils sont déjà de retour. Devenir un ex d’X, ça n’est apparemment pas si facile. 

De nombreuses personnalités ou institutions ont annoncé vouloir quitter le réseau social X.

Avant l’inauguration de Donald Trump au poste de président américain, les annonces de départ du réseau social d'Elon Musk se multiplient.

Nombreux sont ceux qui s’inquiètent de « l’opération d’influence » menée par Elon Musk en Europe.

Alors que l’Australie vient d’annoncer l’interdiction des réseaux sociaux aux moins de 16 ans, d’autres pays choisissent des voies plus nuancées.

The Guardian, Ouest France, Quotidien, personnalités, etc. : depuis l'alliance d'Elon Musk avec Donald Trump, beaucoup ont annoncé leur départ de X. Avec des justifications parfois surprenantes…

Le réseau social d’Elon Musk en a vu d’autres mais la concurrence s’intensifie. Le papillon croquera-t-il le petit oiseau ? Les lemmings trancheront.

Non, l’Amérique de Trump n’est décidément pas isolationniste et compte bien tout autant peser sur notre destin civilisationnel que ce que les démocrates faisaient avec des algorithmes alignés sur des valeurs opposées.

Etre novice sur le réseau social dont tout le monde parle peut être la source d’une certaine angoisse et c’est bien normal. Voici de quoi la dissiper.

Le réseau social X d’Elon Musk ne cesse de chuter, tandis que Threads, celui du fondateur de Facebook, prend de l’ampleur.